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À propos de la maltraitance envers les personnes aînées et les personnes vulnérables

Ligne Aide Maltraitance Adultes Aînés

Reconnaître la maltraitance envers les personnes aînées

Il y a maltraitance quand une attitude, une parole, un geste ou un défaut d’action appropriée, singulier ou répétitif, se produit dans une relation avec une personne, une collectivité ou une organisation où il devrait y avoir de la confiance, et que cela cause, intentionnellement ou non, du tort ou de la détresse chez une personne adulte.

Les situations de maltraitance vécues par une personne aînée peuvent être de sept types :

Maltraitance psychologique

La maltraitance psychologique désigne les attitudes, les paroles, les gestes ou le défaut d’actions appropriées qui constituent une atteinte au bien-être ou à l’intégrité psychologique, par exemple :

  • le chantage affectif;
  • la manipulation;
  • l’humiliation;
  • les insultes;
  • l’infantilisation;
  • les menaces verbales et non verbales;
  • la privation de pouvoir;
  • la surveillance exagérée des activités;
  • les propos réducteurs, xénophobes, sexistes, homophobes, biphobes, transphobes, etc.;
  • le rejet;
  • l’indifférence;
  • le désintéressement;
  • l’insensibilité.

La maltraitance psychologique est la plus fréquente et la moins visible.

  • Elle accompagne souvent les autres types de maltraitance.
  • Elle peut avoir des conséquences tout aussi importantes que les autres types de maltraitance.

Maltraitance physique

La maltraitance physique désigne les attitudes, les paroles, les gestes ou le défaut d’actions qui portent atteinte au bien-être ou à l'intégrité physique, par exemple :

  • une bousculade;
  • une brutalité;
  • un coup;
  • une brûlure;
  • l’alimentation forcée;
  • l’administration inadéquate de la médication;
  • l’utilisation inappropriée de contentions (physiques ou chimiques);
  • la privation des conditions raisonnables de confort, de sécurité, ou de logement;
  • le fait de ne pas aider une personne en situation de dépendance dont on est responsable à s’alimenter, à s’habiller, à se laver ou à prendre ses médicaments.

Certains indices de maltraitance physique peuvent être confondus avec des symptômes découlant de certains problèmes de santé. Dans ce cas, il est préférable de demander une évaluation de la santé physique ou psychologique de la personne aînée.

Maltraitance sexuelle

La maltraitance sexuelle désigne les attitudes, les paroles, les gestes ou le défaut d’actions appropriées à connotation sexuelle non consentis qui portent atteinte au bien-être et à l'intégrité sexuelle, par exemple :

  • les attitudes et les propos suggestifs;
  • les blagues à caractère sexuel;
  • une promiscuité inappropriée;
  • les comportements exhibitionnistes;
  • les agressions à caractère sexuel (attouchements non désirés, relation sexuelle imposée);
  • la privation d'intimité;
  • le fait de traiter la personne aînée comme un être asexuel ou l’empêcher d’exprimer sa sexualité.

L’agression à caractère sexuel est avant tout un acte de domination. Les troubles cognitifs peuvent entraîner une désinhibition se traduisant par des gestes sexuels inadéquats. Ne pas reconnaître, se moquer ou empêcher une personne aînée d’exprimer sa sexualité représente de la maltraitance et peut nuire au repérage et au signalement de celle-ci. L’attirance sexuelle pathologique envers les personnes aînées (gérontophilie) doit aussi être repérée.

Maltraitance matérielle ou financière

La maltraitance matérielle ou financière désigne l’obtention ou l’utilisation frauduleuse, illégale, non autorisée ou malhonnête des biens ou des documents légaux de la personne, ainsi que la dissimulation d'information ou la mésinformation financière ou légale, par exemple :

  • une pression à modifier un testament;
  • les transactions bancaires sans consentement (utilisation d'une carte bancaire, transactions électroniques);
  • le détournement de fonds ou de biens;
  • un prix excessif demandé pour des services rendus;
  • une transaction contractuelle ou assurantielle forcée ou dissimulée;
  • l’usurpation d’identité;
  • la signature d’un bail sous pression;
  • ne pas gérer les biens dans l’intérêt de la personne ou ne pas lui fournir les biens nécessaires;
  • ne pas s’interroger sur l’aptitude d’une personne, sa compréhension ou sa littéracie financière.

Les personnes aînées qui présentent une forme de dépendance envers quelqu’un, qu’elle soit physique, émotive, sociale ou d’affaires, sont plus à risque de subir ce type de maltraitance. Au-delà de l’aspect financier ou matériel, les conséquences peuvent toucher la santé physique ou psychologique de la personne aînée en influençant sa capacité à assumer ses responsabilités ou à combler ses besoins.

Maltraitance organisationnelle

La maltraitance organisationnelle désigne toute situation préjudiciable créée ou tolérée par les pratiques ou les procédures d’organisations (privées, publiques ou communautaires) responsables d'offrir différents soins ou services aux personnes aînées, par exemple :

  • des conditions ou des pratiques organisationnelles qui excluent les personnes aînées des prises de décision qui les concernent, qui ne respectent pas leurs choix ou qui limitent de façon injustifiée l’accès à des programmes d’aide, etc.;
  • une offre de soins ou de services inadaptée aux besoins des personnes;
  • l’absence de directives ou une mauvaise compréhension de la part du personnel;
  • une procédure administrative complexe;
  • la formation inadéquate du personnel;
  • un personnel non mobilisé.

La maltraitance organisationnelle ne se limite pas seulement au réseau de la santé et des services sociaux. Il faut demeurer attentif à l’égard des lacunes des organisations de tout genre qui peuvent brimer à tout moment les droits individuels et collectifs des personnes aînées. Ces lacunes peuvent également nuire au travail du personnel chargé d’offrir des soins ou des services aux personnes aînées.

Âgisme

L’âgisme désigne la discrimination en raison de l'âge, par des attitudes hostiles ou négatives, des gestes préjudiciables ou de l'exclusion sociale, par exemple :

  • des restrictions ou des normes sociales imposées en raison de l'âge;
  • l'accessibilité réduite à certaines ressources ou à certains services;
  • les préjugés;
  • l’infantilisation;
  • le mépris;
  • l’indifférence à l'égard des pratiques ou des propos âgistes lorsqu’on en est témoin.

Violation des droits

La violation des droits désigne toute atteinte aux droits et libertés, individuels et sociaux, par exemple :

  • un traitement médical imposé;
  • le déni du droit de :
    • choisir,
    • voter,
    • avoir son intimité,
    • être informé,
    • prendre des risques ou des décisions,
    • recevoir des appels téléphoniques ou de la visite,
    • pratiquer sa religion ou sa spiritualité,
    • exprimer son orientation sexuelle;
  • le fait de ne pas informer ou de mal informer sur les droits de la personne;
  • le fait de ne pas assister la personne dans l'exercice de ses droits;
  • des capacités non reconnues;
  • le refus d’offrir des soins ou des services.

Tous les types de maltraitance touchent la violation de droits. Il faut se rappeler que, quel que soit son âge, toute personne conserve pleinement ses droits. Seul un juge peut déclarer une personne inapte et nommer un représentant légal. Par ailleurs, la personne inapte conserve tout de même ses droits, qu’elle peut exercer dans la mesure de ses capacités.

Facteurs de risque et de vulnérabilité

Il n’existe pas de profil type de la personne aînée maltraitée ni d’ailleurs de la personne maltraitante. N’importe qui pourrait un jour subir ou faire subir de la maltraitance. Cependant, certains facteurs prédisposent à vivre une situation de maltraitance :

Facteurs associés à la personne aînée maltraitée

Certaines conditions, liées aux caractéristiques de la personne aînée ou à son environnement, pourraient la prédisposer à être la cible de maltraitance. Il existe ainsi des facteurs de risque et des facteurs de vulnérabilité, propres à chaque personne aînée.

Les facteurs de risque sont davantage liés à l’environnement de la personne et aux éléments caractérisant les relations qu’elle entretient avec son réseau restreint ou élargi.

Les principaux facteurs de risque sont :

  • l’isolement social et le réseau social peu développé;
  • la cohabitation avec un ou plusieurs de ses proches;
  • les conflits avec des membres de la famille ou des amis;
  • l’inaccessibilité des ressources;
  • l’état de dépendance financière dans un contexte d’immigration et de parrainage;
  • le partage du milieu de vie;
  • la tension dans la relation entre la personne aînée et celle qui lui donne de l’aide.

Les facteurs de vulnérabilité concernent les caractéristiques propres à la personne aînée pouvant faire en sorte qu'elle sera plus sujette à vivre de la maltraitance.

Les principaux facteurs de vulnérabilité sont :

  • les troubles neurocognitifs majeurs;
  • un faible revenu;
  • un problème de santé mentale (en particulier la dépression);
  • des incapacités sur le plan physique;
  • un historique de violence et de négligence;
  • une dépendance à l’alcool et aux drogues;
  • le fait d’être une femme;
  • les traits de personnalité (hostilité, stratégie d’adaptation passive ou d’évitement);
  • l’ethnicité;
  • l’âge;
  • l’état civil;
  • le niveau d’éducation;
  • une dépendance envers autrui;
  • un haut degré de stress et une faible capacité à le gérer;
  • les attitudes adoptées par la personne aînée maltraitée.

Lorsque plusieurs de ces facteurs sont présents, la personne est encore plus vulnérable, donc potentiellement plus à risque de maltraitance. C’est souvent le cas des femmes aînées qui représentaient, en 2021, près de 54 % des personnes de 65 ans et plus. Les statistiques des dernières années montrent aussi que les femmes aînées du Québec :

  • représentent la majorité des victimes de maltraitance;
  • sont plus pauvres que les hommes du même âge : en 2020, elles recevaient l’équivalent d’environ 70 % du revenu masculin;
  • vivent davantage seules en raison d’une espérance de vie plus longue que les hommes, mais plus souvent avec une incapacité les amenant à avoir besoin d’aide pour réaliser leurs activités quotidiennes, 27,7 % des femmes auront besoin d’aide comparativement à 13,3 % des hommes;
  • sont moins susceptibles que les hommes de recevoir l’aide dont elles ont besoin, d’autant plus si elles sont célibataires ou veuves.

Facteurs associés à la personne maltraitante

La personne maltraitante peut être le fils ou la fille, le conjoint ou la conjointe de la personne aînée, un fournisseur de soins ou de services, un ami ou un voisin.

Ces personnes maltraitantes présentent aussi des caractéristiques qui leur sont propres et qui peuvent les prédisposer à commettre de la maltraitance.

Les principaux facteurs de risque et facteurs de vulnérabilité de la personne maltraitante sont :

  • l’hostilité;
  • la dépendance à l’alcool et aux drogues;
  • la dépendance fonctionnelle, émotionnelle ou financière envers la personne aînée;
  • une perte d’emploi;
  • un stress et un fardeau associés au rôle d’aidant;
  • des pertes cognitives et des troubles neurocognitifs majeurs;
  • un problème de santé mentale (en particulier la dépression);
  • un faible état de santé général (cumul de symptômes physiques);
  • le fait de vivre seul;
  • un lien relationnel difficile entre la personne maltraitée et la personne maltraitante (par exemple, historique de violence familiale).

La présence de ces facteurs n’entraîne pas systématiquement des situations de maltraitance.

Conséquences

Les conséquences de la maltraitance envers une personne aînée peuvent se ressentir à court terme, donc au moment où survient la maltraitance, peu après, ou à long terme. Le bien-être global de la personne aînée peut ainsi être compromis sur une période prolongée, et ce, même lorsque la maltraitance est terminée.

Les personnes aînées vivant de la maltraitance peuvent en percevoir les effets sur :

  • le plan physique, par exemple :
    • séquelles physiques temporaires ou permanentes,
    • détérioration de leur état de santé,
    • déclin de leurs capacités fonctionnelles,
    • augmentation de la morbidité,
    • mortalité,
    • problème de sommeil,
    • consommation d’alcool accrue,
    • épuisement et manque d’énergie;
  • le plan psychologique, par exemple :
    • anxiété,
    • dépression,
    • faible estime de soi,
    • tristesse, moral bas, malheureuses,
    • idéations suicidaires,
    • tentative de suicide,
    • sentiment croissant d’insécurité,
    • sentiment de stress,
    • honte,
    • culpabilité,
    • bouleversement des saines habitudes de vie liées à la santé mentale,
    • sentiment de perte de contrôle sur sa propre vie;
  • le plan social, par exemple :
    • solitude,
    • perte de contacts avec des personnes de l’entourage,
    • développement d’un sentiment de méfiance,
    • conflits,
    • accroissement de la dépendance,
    • difficulté à effectuer des activités quotidiennes,
    • changement de milieu de vie entraînant un éloignement des personnes appréciées;
  • le plan matériel ou financier, par exemple :
    • perte de ressources financières,
    • perte de biens matériels,
    • privation de biens essentiels,
    • dette,
    • insolvabilité,
    • faillite,
    • méfiance dans la gestion des avoirs par autrui,
    • accélération de la déclaration de l’inaptitude à gérer ses biens.

Facteurs de protection

Les facteurs de protection permettent de réduire les probabilités qu’une situation de maltraitance se développe ou perdure. Ils sont regroupés en deux catégories : les éléments propres à la personne aînée et ceux relatifs à son environnement immédiat ou élargi.

Les caractéristiques suivantes représentent des facteurs de protection pour une personne aînée :

  • posséder de bonnes habiletés de gestion du stress et les appliquer;
  • exprimer facilement ses émotions et ses sentiments;
  • posséder une capacité à faire face aux évènements et à leur donner un sens;
  • détenir une connaissance de soi qui permette de reconnaître le moment auquel la recherche d’aide est nécessaire;
  • connaître ses droits civils et humains;
  • détenir un plan de sécurité personnel;
  • développer un sentiment de compétence en ayant accès aux ressources nécessaires;
  • se projeter dans l’avenir;
  • avoir une vision positive de son orientation sexuelle ou de son identité de genre;
  • se sentir connecté avec sa communauté;
  • être engagé socialement par le biais d’activités récréatives ou bénévoles;
  • être une personne qui a immigré depuis longtemps;
  • détenir un statut d’immigration permanent;
  • être admissible aux prestations gouvernementales;
  • détenir une couverture de soins de santé et de médicaments adéquate lors de l’immigration.

En ce qui concerne les facteurs de protection liés à l’environnement, les probabilités qu’une situation de maltraitance envers une personne aînée se développe ou perdure sont réduites lorsque la personne aînée :

  • partage un réseau social de qualité, composé de personnes adéquates, disponibles et outillées;
  • vit dans un environnement physique et psychosocial sain et sécuritaire;
  • vit dans un milieu exempt d’âgisme et d’exclusion sociale;
  • se trouve dans une bonne situation financière, avec des avoirs sécurisés.

Aides et ressources

Avis général

Pour toute urgence, composer immédiatement le 9-1-1.
24 heures sur 24, 365 jours par année.

  • Ligne Aide Maltraitance Adultes Aînés (LAMAA) Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    1 888 489-2287
    La LAMAA est une ligne téléphonique provinciale d’écoute et de référence spécialisée en matière de maltraitance envers les personnes aînées. Elle offre des services à la population comme aux professionnels et formateurs en maltraitance.
    Services offerts en français et en anglais (service d’interprètes disponible sur demande pour certaines langues)
    8 h à 20 h, 7 jours sur 7.
  • Demande d’application de sanctions pénales en lien avec la Loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité 
    Plusieurs situations peuvent vous amener à déposer une demande pour que des sanctions pénales en lien avec la lutte contre la maltraitance soient imposées à quelqu’un. 
    Pour plus d’information consultez ce lien : https://www.quebec.ca/gouvernement/ministere/sante-services-sociaux/coordonnees/coordonnees-supplementaires-du-ministere-de-la-sante-et-des-services-sociaux#c118843

  • Info-Social 811
    811
    Le service Info-Social 811 donne des conseils et peut répondre aux questions d’ordre psychosocial. Les professionnels du service peuvent aussi, au besoin, diriger la personne vers une ressource appropriée dans le réseau de la santé et des services sociaux ou vers une ressource communautaire. Toute personne résidant au Québec peut appeler pour elle-même ou pour un proche.
    24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
    Services offerts en français et en anglais.

Ressources pour les personnes proches aidantes d'aînés

  • Info-aidant Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    1 855 852-7784
    Info-aidant est un service téléphonique professionnel d’écoute, d’information et de référence, confidentiel et gratuit, qui s'adresse aux personnes proches aidantes à leur entourage ainsi qu’aux intervenants et aux professionnels de la santé.
    8 h à 20 h, du lundi au vendredi.
    Services offerts en français et en anglais.
  • L’Appui proches aidants Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    L’Appui proches aidants contribue à améliorer la qualité de vie des personnes proches aidantes et à faciliter leur quotidien.

Ressource en cas d’inaptitude

  • Curateur public du Québec Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    1 844 LECURATEUR (532-8278)
    Le Curateur veille à la protection des personnes mises sous tutelle ou curatelle publique. Il accompagne également les familles et les proches qui représentent une personne sous tutelle ou curatelle, ou qui participent à un conseil de tutelle. Il s’assure que les décisions sont prises dans l’intérêt de la personne représentée, le respect de ses droits et la sauvegarde de son autonomie.

Autres ressources

  • Commissaire locaux aux plaintes et à la qualité des services
    Le Commissaire reçoit et examine les plaintes concernant les soins et les services reçus dans le réseau de la santé et des services sociaux. Tout usager du réseau qui croit que ses droits n’ont pas été respectés ou qui est insatisfait des services qu’il a reçus peut exprimer son insatisfaction ou déposer une plainte.
  • Coordonnateurs régionaux spécialisés en matière de lutte contre la maltraitance Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    Les 21 coordonnateurs régionaux déployés dans chacune des régions du Québec, visent à générer et soutenir la concertation entre les acteurs impliqués dans la lutte contre la maltraitance envers les personnes aînées.
  • Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    1 800 361-6477
    La CDPDJ a pour mission d'assurer la promotion et le respect des droits et libertés de la personne en vertu de la Charte des droits et libertés de la personne. Elle doit aussi veiller à l'application de la Loi sur l'accès à l'égalité en emploi dans les organismes publics.
    Certaines informations sont disponibles en anglais.
  • Autorité des marchés financiers (AMF)  Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
    L’Autorité prête assistance aux consommateurs de produits financiers et les protège, par exemple, en matière d’assurances, d’investissements ou de fraude financière. Elle offre aussi de l’information sur la prévention de la maltraitance financière envers les aînés et offre de la formation à ses membres sur le sujet.
    Certaines informations sont disponibles en anglais.
    1 877 525-0337

Dernière mise à jour : 13 novembre 2023

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